Wonderful World

Depuis un bout de temps j'ai envie de rendre hommage à ces hommes ou femmes qui ont créé des entreprises et qui sont devenus nos patrons.

Oui je béni mon patron tous les matins, parceque c'est lui qui n'a pas dormi de la nuit à cause de tous les soucis qu'il a pour maintenir sa boite en vie.

Oui je respecte mon patron parceque c'est lui qui est responsable de tout ce qui concerne son entreprise, et qui risque donc la prison, en cas de pépin grave.

Oui je le remercie parceque grâce à lui j'ai droit à une vie de salarié, et on peut dire que c'est ultra confortable : 5 semaines de vacances par an, un salaire qui tombe tous les mois, la sécurité sociale et même parfois une bonne mutuelle et des tickets resto... et surtout pas trop de soucis, si la boite coule, j'aurais droit au chômage, pas lui.

Je pense régulièrement à tous ces entrepreneurs qui ont - à la sueur de leur front, et parfois au prix d'une vie privée sacrifiée ou d'une santé dégradée - créé des structures qui accueillent des gens et leur offre ce confort.

On a plutôt l'habitude et c'est plus à la mode ou politiquement correct, de les décrier, de dire qu'ils ne pensent qu'au pognon, et qu'ils nous exploitent. C'est faux : la plupart d'entre eux sont justes et honnêtes, et ne font que leur boulot.

Ceux dont on parle, si on parle d'eux, c'est pour une faute qu'ils ont commise (parti avec la caisse, délocalisé, parachute doré, etc ...) ou parcequ'ils ont fait des bénéfices record sans redistribuer ( nos chers amis du CAC 40 sont spécialistes de ces agissements). Mais on oublie de dire que ceux là (même s'ils méritent d'aller en prison plutôt que de se la couler douce et d'être pote avec le président) ne sont qu'une poignée, ils ne sont pas représentatifs.

Il faut savoir que les grandes entreprises qui semblent être la référence, ne représentent en fait QUE 11% du salariat, soit 1 710 000 personnes, et sont seulement 2000 entreprises a avoir plus de 500 salariés, contre 2 651 500 entreprises au total.... une bouchée de pain.

Et pourtant ces grandes entreprises, celles du CAC 40, sont celles dont on parle le plus, et dont les patrons sont les plus médiatisés. parcequ'ils sont copains avec le président ? joke !!

Bref je préfère m'étendre sur le sujet des gentils patrons, ceux qui font vivre 90% des salariés et qui se comportent normalement, c'est à dire savent reconnaitre qu'ils ne pourraient rien faire sans nous, leurs employés...

et pour tout ça, je les remercie.

"Those who could give up essential liberty to purchase a little temporary safety deserve neither liberty nor safety." B. Franklin, feb 1775

Ceux qui pourraient abandonner une liberté essentielle pour un peu de sécurité temporaire ne méritent ni l'un ni l'autre.

A mediter.....
 

Bah oui, quand il n'y aura plus assez de pétrole pour faire avancer toutes les voitures, on prendra tous le bus.
Ce qui sera génial c'est qu'il y aura un plus grand nombre de bus, et nos destinations seront mieux desservies.

J'imagine la ville sillonnée par des petites navettes électriques qui roulent dans tous les sens... il n'y a plus de voiture, alors le trafic est plus fluide. Chaque navette décrit un circuit assez court, qui part des zones de résidences vers les zones de travail, et revient en formant une boucle. Comme son trajet est assez court, il y en a souvent. Et moi je saute de navette en navette pour rejoindre mon bureau. Bien sûr je dois marcher un peu, mais finalement c'est tout benef, depuis que je prend le bus, je suis plus en forme, j'ai des fesses en béton !

Quand je vais faire les courses, c'est pareil, je peux choisir de rentrer avec mes paquets qui ne sont pas trop lourds car je n'ai acheté que ce dont j'avais besoin ... ça aide aussi a dépenser mieux ...
Pour les paquets volumineux il y a des systèmes de livraison en camionnettes électriques aussi.

L'air est agréable à respirer et on prend plus le temps de vivre. Plus possible aujourd'hui de se faire insulter par un gros nerveux au volant de son gros 4X4 noir qui déteste les femmes au volant. Disparue aussi la harpie qui crisait tous les matins contre ces-abrutis-mal-réveillés-qui-n'avancent-pas-ou-qui-téléphonent-au-volant-alors-que-c'est-interdit-et-que-fait-la-police au volant de son break noir de bourgeoise (oui oui c'est moi).

Bref on se demande pourquoi la perspective de vivre sans petrole nous fait si peur ...

Un mot qu'on entend souvent ces derniers temps. J'avais besoin de mettre un sens officiel derrière ces 8 lettres.

Le fascisme (en italien fascismo) est un mouvement politique d'origine italienne apparu en 1919. Ce terme, très utilisé, a par la suite pris un sens beaucoup plus large. Il est donc nécessaire de cerner ses différents niveaux d'acception.

* Au sens strict  , le terme désigne le mouvement politique fondé par Benito Mussolini, ainsi que le régime qui était en vigueur en Italie quand Mussolini était au pouvoir, de 1922 à 1945. Partisan du totalitarisme et adversaire de la démocratie et du socialisme, le fascisme mussolinien se réfère également aux idées du syndicaliste-révolutionnaire français Georges Sorel, pour qui l'émancipation de la classe ouvrière passe par la violence. Ce sens strict est notamment utilisé par les historiens.
 * Au sens large, le terme fascisme a pris un sens générique. Le modèle italien s'étant exporté dans toute l'Europe (nazisme en Allemagne, franquisme en Espagne), il s'est ensuite étendu à tout mouvement politique s'appuyant sur un pouvoir fort, prônant un État sécuritaire, les métiers organisés en corporations (ceci au moins jusqu'en 1945), l'exaltation du sentiment nationaliste et une politique réactionnaire. Le politologue français Pierre Milza a ainsi titré l'un de ses ouvrages Les Fascismes. De nombreux spécialistes affirment que le nazisme est à l'opposé du fascisme au sens strict, ce dernier ayant pour objectif de créer un état fort, alors que le nazisme a pour but de détruire l'état (justice, armée, police...) et faire détenir les domaines régaliens par le parti et ses dirigeants. De plus, le fascisme aborde très peu les thèmes raciaux, à l'inverse du nazisme.
    * Dans son acception la plus large, le terme est employé de manière péjorative par certaines idéologies qui tendent à associer le fascisme à leurs ennemis, ou le définissent comme étant l'opposé de leurs propres visions. Dans le débat politique contemporain, le terme fasciste continue d'être employé comme une injure.
    * Histoire du mot : Fascisme est emprunté (1921) à l'italien fascismo, mot dérivé de fascio "faisceau", utilisé comme symbole politique en italiea pris, à partir des années 1960 des valeurs affectives dans le discours politique. Il s'emploie aujourd'hui pour toute attitude politique conservatrice et autoritaire, et de façon polémique, pour toute doctrine ou comportement opposé à " la gauche": plus largement encore, hors de tout contexte politique, il s'utilise pour parler d'une contrainte, d'une autorité imposée. (dictionnaire historique de la langue française)

I see trees that are green, red roses too
I see them bloom for me and you
And I think to myself : "What a wonderful world !"

I see skies of blue, and clouds of white
The bright blessed day, dark sacred night
And I think to myself : "What a wonderful world !"

The colours of the rainbow, so pretty in the sky
Are also on the faces of the people passing by
I see friends shaking hands, saying : "How do you do ?"
But they're really saying : "I love you".

I hear babies cry, I watch them grow
They'll learn much more, than I'll ever know
And I think to myself : "What a wonderful world !"
I think to myself : "What a wonderful world !"
Oh yeah